Dernière mise à jour le 14 août 2025

Pour moi, le minimalisme et la déconsommation ont été une porte d’entrée vers une nouvelle façon de vivre, y compris une manière différente d’envisager le travail et le concept de " gagner sa vie ". Pendant près de dix ans, le travail était une contrainte que je subissais plutôt qu’une opportunité d’accomplissement et de développement personnel. Tout ça manquait cruellement de SENS. Et de flexibilité.

Le pire, c’est que, comme beaucoup de personnes, je pensais qu’il n’y avait pas de plan B, C, D… et que c’était normal de subir, voire de souffrir.

Pourtant, j’ai découvert des alternatives à ce carcan, et je continue d’expérimenter pour trouver la formule qui me convient. Je n’ai pas de solution miracle pour devenir riche en travaillant quatre heures par semaine à offrir. Cet article, c’est une réflexion qui évolue au fil des années, des pistes pour se libérer de l’emprise du travail et reprendre le contrôle.

Ce sont des modèles de gestion de l’argent de personnes que j’ai rencontrées et qui m’ont inspirée, ce sont aussi mes essais, erreurs et réussites, c’est une liste de possibilités qu’on refuse souvent de voir… et peut-être, un début de solution pour créer le système qui fonctionne pour toi.

Le travail doit-il absolument être pénible ?

J’ai été salariée pendant 10 ans, sans interruption, à peine mon diplôme obtenu. J’ai " choisi " des études qui ne me correspondaient pas, mal influencée par ce que j’entendais partout autour de moi et dans les médias (" tout va mal, le chômage crève le plafond, il n’y a pas de boulot…" , " c’est une filière sûre" , " les autres domaines qui t’intéressent sont difficiles… ").

Résultat, j’ai toujours eu du boulot, j’ai eu le luxe de pouvoir quitter deux CDI parce que j’avais trouvé " mieux " ailleurs. Et après 10 années, j’étais au bord d’un cocktail burn out/bore out/dépression.

On est censé choisir un boulot pour la vie alors qu’on n’a encore rien vu, rien vécu. On doit courir après un CDI pour accéder à une vie d’adulte. On doit subir un boulot qu’on déteste parce que le travail ce n’est pas censé être gai. STOP ! On ne doit rien du tout. Il faut juste en prendre conscience.

Mais pour pouvoir envisager ce changement de mode de vie, être moins dépendant de son travail salarié, choisir de prendre plus de temps pour ça, il faut développer de la résilience.

La résilience financière

Épargner, c’est pas optionnel

Contrairement à certains best-sellers qui vantent un mode de vie oisif, sans aucun effort mais qui apporte la fortune (spoiler : la seule manière de parvenir à ça, c’est d’exploiter les autres), je pense que construire sa résilience financière demande effectivement des efforts.

Il ne s’agit pas nécessairement de se priver à l’extrême et de devenir frugal, comme les adeptes du mouvement " FIRE " (Indépendance financière, retraite précoce) qui visent un arrêt de travail avant 40 ans, mais de revoir quand même son rapport à l’argent.

Ça veut dire prioriser l’épargne, même si elle représente une petite somme, plutôt que de dépenser tout son argent, ou pire, de prendre des crédits inutiles. Mais aussi revoir sa manière de consommer, réfléchir à notre bon usage de l’argent. Sans se priver de ce dont on a besoin, on peut tous et toutes trouver des postes de dépenses où on pourrait économiser.

On peut adopter une consommation raisonnée sans se priver et sans adopter un mode de vie frugal. Chaque petite somme économisée est alors redirigée vers notre épargne.

Ne pas se reposer uniquement sur son travail salarié

Pour être résilient, il faut se rendre compte de la fragilité du travail salarié. Il y a peu, nombre d’entre nous étaient loin de se douter qu’un phénomène tel que la mise à disposition publique de l’IA générative verrait le jour, menaçant des emplois dans des secteurs reconnus il y a encore peu comme sécuritaires.

Sans tomber dans l’alarmisme, c’est quand même important de garder à l’esprit que, pour la plupart des employeurs, les employés sont remplaçables. Les employeurs, eux-mêmes, ne sont pas à l’abri d’un gros pépin. Les fermetures d’entreprises de tout format ne sont pas rares.

Cependant, mon message, ce n’est pas qu’il faut accumuler les jobs et activités lucratives et réduire encore notre temps libre.

Là où je veux en venir :

  • Garder en tête qu’un travail salarié, aussi sécurisé qu’il puisse paraître, peut nous échapper des mains du jour au lendemain. En étant conscient de ça, on trouve de la motivation pour se constituer une épargne.
  • Notre travail salarié ne devrait pas représenter toute notre vie. Il est important de continuer à apprendre des choses qui nous intéressent, pratiquer des activités qu’on aime… Pas uniquement dans le but de les rendre lucratives, mais pour avoir plusieurs flêches à son arc en cas de changement de situation. Mais aussi parce que c’est bon pour la santé mentale, et parce que, merde quoi, on est pas là sur terre juste pour enrichir des patrons et s’affaler dans notre canapé à la fin de la journée.

Si notre vie professionnelle (ou toute activité qui nous fournit nos revenus) est bien équilibrée, on devrait d’ailleurs réussir continuer à nourrir ces passions et centres d’intérêt naturellement sans se forcer.

La carrière linéaire n’est pas une fatalité

Au cours de mes 16 années de carrière, j’ai découvert (un peu tard, malheureusement) que le modèle d’évolution professionnelle linéaire qu’on nous a longtemps présenté n’était pas une fatalité.

Oui, on doit faire des choix très tôt, mais développer de la résilience nous permet de prendre de nouvelles directions au cours de notre vie, de tester différentes choses, et d’être là où on doit être.

Le plus beau luxe que j’ai pu me payer, en consommant moins, c’est de m’offrir des pauses carrière sans être dépendante de qui que ce soit.

Avec mon épargne en poche, après avoir évalué mes besoins réels, j’ai pu m’arrêter de travailler avant d’atteindre le stade de non-retour (le tristement célèbre burn-out).

Ces pauses m’ont permis de me retrouver et de savoir ce dont j’avais besoin à ce moment-là. En effet, en travaillant, je n’avais pas l’énergie nécessaire pour réfléchir à tout ça. Certaines personnes en sont peut-être capables (je soupçonne mon TDAH d’être au moins en partie responsable), mais pas moi.

Quel luxe de pouvoir choisir, de la première à la dernière heure de la journée, comment je veux occuper mon temps. De rencontrer de nouvelles personnes dans des cadres que j’ai choisis. Je me former sans être préoccupée par mon travail salarié. De prendre le temps de m’ennuyer suffisamment pour me rendre compte de ce que j’ai vraiment envie de faire pour l’instant…

C’est en prenant de vraies pauses que j’ai pu à chaque fois décider de l’étape suivante, que ce soit ma reconversion professionnelle, mes essais en tant qu’indépendante… En ayant la possibilité de prendre ces pauses, j’ai pu aussi prendre des décisions qui n’étaient pas dirigées par la peur, l’urgence ou la pression financière.

On n’a pas tous les mêmes besoins et capacités en matière de travail

Le modèle salarié a été créé pour la plupart des gens, qui s’en accommodent (quoique, pas toujours si bien que ça… j’ai perdu le compte du nombre de personnes que j’ai croisées dans ma carrière et qui ont fait un burn-out). Or, on oublie trop souvent de nous dire que ça ne marche pas pour tout le monde.

Par exemple, il m’a fallu travailler 15 ans, à essayer de gravir les échelons, pour me rendre compte qu’en fait, ce n’est pas mon rêve. Qu’en réalité, mon besoin, c’est de changer souvent d’activité, parce que je m’ennuie rapidement. Que c’est nécessaire pour moi d’avoir du contrôle sur mon travail, et qu’être nommée responsable grâce au titre sur un contrat n’est pas la seule manière d’obtenir ce contrôle.

Ce n’est que récemment que j’ai décidé que mon rêve n’était pas de devenir riche, mais d’avoir assez d’argent et de temps libre pour faire ce que j’aime et ce dont j’ai besoin.

Il m’a fallu vivre 26 ans pour savoir que j’avais un très haut QI, et 37 ans pour être diagnostiquée avec un TDAH. C’est seulement alors que j’ai réalisé que je n’étais pas capable de gérer mon énergie comme les autres. Et c’est tout récemment que j’ai appris qu’avoir un QI élevé rend impatient, et que c’est souvent difficile de travailler avec des gens qui n’avancent pas au même rythme.

Cependant, point de diagnostic nécessaire : on a tous et toutes des personnalités, des besoins, des limites et des aspirations qui nous sont propres, que ça s’explique par une raison médicale ou pas. Alors, pourquoi devrait-on tous et toutes trouver notre place dans un cadre qui a été fait pour la moyenne ?

De nouveau, arriver à définir ce qui nous caractérise demande du temps et de la tranquillité d’esprit. C’est une des nombreuses choses que j’ai pu faire grâce à mes pauses carrière, et que je n’arrivais pas à faire quand je devais supporter un travail qui ne me convenait plus. Et oui, j’ai testé le temps partiel, mais quand notre activité professionnelle est un problème, réduire les heures ne fait pas une grosse différence.

Travailler moins, ou autrement : savoir ce qui est possible

Le minimalisme m’a amenée à découvrir beaucoup de nouvelles façons de travailler, ou de gagner sa vie, dont je n’étais pas consciente avant. C’est en écoutant les récits de personnes qui avaient décidé de ne pas vivre dans le carcan habituel du salariat et en lisant des témoignages que je me suis rendu compte que d’autres modèles sont possibles, et que chacun peut créer le sien en tenant compte de ses propres besoins. Et ça, on ne te le dit pas à l’école.

C’est pourquoi il faut garder un esprit ouvert. Écouter ce que les autres vivent, même si a priori, ce qu’ils font nous paraît bizarre. Prendre du recul. Rester curieux.

Je trouve ça important d’être conscient qu’il existe d’autres choix, d’autres façons de faire, et qu’on est plus libre qu’on ne le pense. Le fait de vivre plus simplement et de mieux contrôler mes dépenses a participé à me donner cette liberté. Le fait de discuter avec des gens qui avaient d’autres façons d’envisager les choses aussi.

C’est pourquoi j’ai voulu partager certains de ces récits, quelques pistes de réflexion, sans injonction mais juste pour te donner des clés vers d’autres façons d’aborder les choses. Il s’agit ici d’histoires de gens que je connais personnellement, et dont je sais qu’ils vivent très bien leur situation et que ce n’est pas de la poudre aux yeux (aucune de ces personnes n’essaie de vendre du coaching sur Internet pour expliquer comment devenir riche en travaillant moins!).

Se loger différemment pour diminuer ses dépenses

La première histoire que je vais vous raconter, c’est celle de Linda (nom d’emprunt). Linda est une personne extravertie qui sort énormément. Elle a la quarantaine, en paraît 10 de moins. Elle a fait des choix conscients : elle ne boit pas d’alcool, elle ne fume pas, elle fait attention à son budget. Mais cela ne l’empêche pas de sortir plusieurs fois par semaine (expositions, resto, boîte de nuit, spectacles, tout l’intéresse !) et de voyager plusieurs fois par an, dans tous les coins du globe. Vous l’aurez compris : les moments avant les objets.

Je n’ai jamais vu Linda sans son sourire. Je n’ai jamais vu Linda fatiguée. Je ne l’ai jamais vue se taire. Linda déborde de vie. Elle a fait d’autres choix pour vivre la vie à laquelle elle aspirait. Elle a décidé de continuer à habiter avec ses parents dans la fermette familiale, avec tous les animaux qu’elle aime tant.

Il n’est pas donné à tout le monde de s’entendre assez bien avec sa famille pour vivre avec eux sur le long terme, mais il existe d’autres solutions que l’on peut mettre en place pour diviser les dépenses : maisons multi-familiales ou multi-générationnelles, colocation (et oui, ce n’est pas réservé aux étudiants !), ou encore habitats légers comme les Tiny House (ces maisons tout petit format, et parfois portables, où l’on vit avec le strict nécessaire), se pacser et cohabiter avec un·e ami·e, ou un frère, une sœur, " squats " légaux, ou encore sous-louer une partie de sa propriété à des voyageurs de passage, des étudiants, des colocs sur le court ou long terme…

Si avoir ta propre maison unifamiliale n’est ton votre rêve, il existe tout un panel de choix qui s’offrent à toi pour prendre ton indépendance (financière, géographique…) et diminuer drastiquement les dépenses.

Adopter un habitat léger pour dépenser moins d'argent

Enfin, Linda a décidé de travailler quand elle veut, quand elle en a besoin. Après un passage par le secteur de la vente, elle a décidé de prendre son indépendance également sur plan-là. Aujourd’hui, elle travaille quand elle le décide, sur des missions courtes, puis reprend son style de vie. Elle peut se le permettre grâce aux choix de consommation et de vie qu’elle a faits.

Je n’ai jamais fait quelque chose que je n’aimais pas

C’est ce que m’a confié Elise (nom d’emprunt), une jeune femme que j’ai rencontrée récemment. Elle a suivi une formation pour prodiguer des massages, activité à laquelle elle s’adonne depuis quelques années. Elle a pour projet de créer un soin qui couplerait les techniques qu’elle a déjà apprises à un autre type de thérapie qui l’intéresse. Quelques années auparavant, elle a été toiletteuse pour chiens. C’était sa lubie de l’époque. Elle n’a jamais bossé dans un secteur qui ne l’intéressait pas, elle a décidé de suivre ses envies du moment, de continuer à apprendre, de ne pas s’enfermer dans un chemin tracé.

Un mode de vie slow où l’on s’écoute, où l’on se suit, où l’on se respecte. Entre ces deux femmes, qui n’ont pas de boulot fixe, et les gens que j’ai côtoyés au bureau pendant des années, tu sais qui sont les plus stressés, n’est-ce pas…

Partir à l’autre bout du monde

Nous sommes nombreux·ses à rêver, secrètement ou ouvertement, de voyager (plus), voire de partir à l’autre bout du monde. Que ce soit pour un beau voyage, pour un an de dépaysement, pour un tour du monde, ou carrément pour devenir nomade.

Depuis quelques semaines, Céline de Iznowgood me fait rêver avec sa décision de tout vendre et de faire le tour du monde pendant un an (avec juste un sac à dos !). Je m’intéresse au nomadisme depuis un moment également. Je ne sais pas sous quelle forme je le vivrais, mais j’aime l’idée de ne pas être attachée à un lieu. J’adore voyager, j’ai envie de le faire sans le stress de la date de retour, d’y être à fond, de vivre à l’heure locale et de ne pas partir déçue, avec un goût de trop peu.

J’ai eu l’occasion d’échanger avec Fabrice, du blog Instinct Voyageur (une aide précieuse pour les personnes qui envisagent de devenir nomades, de faire un tour du monde, d’aller bosser dans un autre pays…), à propos de la relation aux objets et à la consommation. Fabrice fait partie de ce qu’on appelle communément les " Digital Nomads " ou " nomades numériques" . Des personnes qui ont décidé de pouvoir travailler de n’importe où et ainsi de pouvoir s’installer où elles veulent. Cela ne veut pas nécessairement dire être en train de voyager tout le temps, aller loin, tout quitter. L’indépendance peut aussi se vivre à une échelle plus réduite.

Elles ont des profils variés, cela n’est pas réservé à une élite, tout le monde peut y trouver sa place : célibataires, bandes d’amis, couples ou familles avec enfants scolarisés. Ils partent tantôt ailleurs en Europe, tantôt à l’autre bout de la planète. Ils voyagent avec un sac sur leur dos, ou s’installent pour plusieurs mois ou années dans un logement fixe, mais ailleurs. Il y a autant de possibilités que de nomades.

Leur point commun, c’est qu’ils ont trouvé un moyen de vivre sans être attachés à un lieu. La plupart du temps, ils travaillent à distance, grâce à leur ordinateur et à Internet. Ils sont rédacteurs, community managers, assistants virtuels, coach à distance…, ou ils cherchent du travail sur place grâce à leur connaissance de l’anglais ou de la langue locale, dans un bureau, un commerce, le secteur du service ou du tourisme…

Ils ont appris un métier qui peut s’effectuer à distance dans le but de devenir freelance, ou ils sont partis des connaissances qu’ils avaient déjà acquises pour trouver un contrat sur place. Ou encore, ils ont investi dans l’immobilier, ou en bourse (on oublie souvent que gagner de l’argent de manière honnête et légale ne veut pas nécessairement dire travailler !), ou ils ont un commerce automatisé qui travaille pour eux, ou ils ont investi dans une franchise…

Bref, là encore, il existe de nombreuses pistes à explorer !

Nomadisme et minimalisme, ça rime…

Selon Fabrice, nomadisme et minimalisme vont souvent de pair (ce n’est d’ailleurs pas un hasard si Céline de Iznowgood, dont je parle plus haut, a débuté également sa démarche par le minimalisme et le désencombrement…). En effet, difficile de ne pas s’attacher à un lieu précis quand ony accumule les objets. Acheter moins, c’est aussi pouvoir se préparer une bourse pour opérer un gros changement plus facilement et confortablement.

En voyageant, Fabrice s’est rendu compte qu’il pouvait vivre avec pas grand chose, il s’est libéré de la possession des objets. Il a ouvert les yeux sur la valeur des moments. Au fil des voyages, il s’est rendu compte que cette valeur surpassait de loin celle des objets que l’on amasse. Même si le voyage n’est pas permanent, il est difficile ensuite de rentrer chez soi et de recommencer à vivre comme avant, le voyage nous change. Il ajoute encore que nous avons le choix de donner une certaine valeur aux objets, et nous avons donc le choix de nous en détacher. Le choix de vivre autrement.

Devenir minimaliste, de nouvelles possibilités

Si certaines personnes voient le désencombrement comme une contrainte, un passage obligé, la suite logique d’un événement particulier (endettement, déménagement, perte d’emploi, déprime, décès, naissance…), pour moi, c’est surtout une porte ouverte vers un nouveau style de vie.

Il n’est pas nécessaire de " tout plaquer " pour en ressentir les effets. En gardant son boulot, sa maison, mais en apprenant à déconsommer, on s’autorise à vivre plus sereinement, sans avoir peur d’ouvrir les factures, sans stresser à propos de l’argent. On se sent mieux au quotidien, moins harassé par les tâches de tous les jours, et on réapprend à se centrer sur les expériences, l’apprentissage, la découverte.

Mais le minimalisme, c’est aussi ce moyen qui te permet de voir ta vie autrement, peut-être de cesser de rêver pour faire enfin ce qui t’anime secrètement depuis des années, d’abandonner ton espoir de gagner à la loterie, et d’être l’acteur·rice de ta indépendance.

Travailler autrement : les grandes idées à retenir

  • " Gagner sa vie " ne veut pas nécessairement dire " travailler " : on peut vivre grâce à des investissements par exemple.
  • Avoir une épargne nous permet d’être plus libre face à nos choix de carrière.
  • Le modèle linéaire de la vie professionnelle ne fonctionne pas pour tout le monde : c’est important de connaître ses propres besoins et limites pour créer le système qui fonctionne pour nous.
  • La déconsommation ou les modes de logement alternatifs sont des pistes pour diminuer ses dépenses (et augmenter son épargne, et être moins dépendant de ses revenus).

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